…Monsieur Bonbon le Chat.

Depuis une quinzaine d’année, il est mon médicament, sans aucun effet secondaire, si ce n’est devenir de plus en plus addict ! Des heures à le papouiller, à lui grattouiller le ventre, à coller ma tête contre lui pour caler nos vibrations. C’est vrai qu’à lui seul il m’apaise et le fait de prendre le temps de le câliner, me détend instantanément….

Je peux également lui raconter ma journée par exemple, lui confier que je n’en peux  plus de la Samantha Fox du bureau etc.

Bon en fait, il semblerait tout de même qu’un chat soit plutôt égoïste et ne ronronne que pour lui-même, pour son bien-être même s’il détecte tout de même notre stress, ouf.

Désormais nos petits rituels quotidiens ont un nom : la Ronronthérapie

Les caresses que je lui prodigue quotidiennement, avec amour libèrent des endorphines, vous savez les hormones de bonheur dont je ne cesse de vous parler. Donc en résumé : tout le monde est trop content !

Tout vient des vibrations de ces adorables ronronnements. J’ai appris lors d’un séminaire que ces mêmes vibrations sonores (basses fréquences) sont également utilisées en médecine du sport pour réparer les muscles ou les os. Elles aident à la cicatrisation… « Si l’on analyse le spectre sonore d’un chat qui ronronne, on voit apparaître principalement des sons très graves, étagés sur des fréquences de 25 à 50 hertz, explique Jean-Yves Gauchet. Il s’agit de ‘basses’ bien connues des compositeurs de musique, qui permettent de provoquer des émotions. Donc une action directe du son sur un organisme. »